Par Bernard Bujold -
L’affaire Nathalie Bondil et son congédiement par le Conseil d’administration du Musée des Beaux-arts de Montréal le 13 juillet 2020 me fait penser à des événements comme le congédiement de Patrick Roy des Canadiens le 2 décembre 1995; à la vente de MySpace en juillet 2005; ou même à la crise du Coronavirus d’abord éclatée en Chine en décembre 2019.
Dans tous les cas, la même conclusion s’applique.
Rien n’est éternel et tout est fragile et le début de la fin commence toujours par un petit événement qui provoquera la destruction totale.
Jamais depuis le départ de Patrick Roy, l’équipe de hockey Les Canadiens n’a remporté la Coupe Stanley; l’empire qu’était MySpace est rapidement devenu désuet après sa vente en juillet 2005 au groupe Murdoch pour 580 millions$ et on a dû s’en débarrasser en juin 2011 pour moins de 35 millions$; le Coronavirus a peut-être commencé par un accident en laboratoire chinois durant le mois de décembre 2019 mais la planète entière et toute sa civilisation est aujourd’hui complètement détruite à cause de ce virus; et le départ de Nathalie Bondil a mis fin au succès d’une institution montréalaise dont la réputation était reconnue partout dans le monde. Maintenant, le Musée montréalais représente l’échec et son cas sera regardé et discuté par tous les autres musées du monde pendant de nombreuses années à venir!
Conclusion: Le succès d’hier ne garantit pas le succès de demain...
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