jeudi 28 septembre 2017
L'ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE EN PÉRIL
L’ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE EN PÉRIL...
Par Bernard Bujold -
L’acquisition de Jean Coutu n’est pas un bon signe pour l’économie québécoise à long terme car si Jean Coutu était contrôlé par une famille privée (les Coutu), Métro est un groupe entièrement contrôlé par ses actionnaires boursiers et peut éventuellement être la cible d’un rachat d’action de la part d’un groupe extérieur.
En ce qui concerne Bombardier, certains observateurs (dont moi...) prévoient aussi une fusion éventuelle avec un groupe extérieur, par exemple européen.
L’acquisition d’un groupe par un autre est toujours très fragile au niveau de la culture d’entreprise et l’exemple le plus évident d’un échec récent (transaction des actions en 2014) est Tim Horton. Depuis son acquisition par le groupe Burger King, c’est la crise profonde au sein des franchisés canadiens.
À suivre...
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